Les filles du Domaine Animal espèrent tellement que certains d’entre vous se souviendront de moi… Elles disent que mon histoire a touché bien des âmes, et elles espèrent qu’aujourd’hui, certains d’entre eux qui n’avaient pas été choisis lors de ma sélection se remanifesteront. Oui, je m’appelle Sarabie, et je suis de retour au refuge après plus de 2 ans de cohabitation avec mes parents, puisque je suis malheureuse comme les pierres en appartement.
Au début de notre histoire d’amour, mes parents et moi habitions dans la merveilleuse région de la Gaspésie. Wow, le grand air, l’odeur saline, les vallées… bref, la belle vie quoi!
Mes parents, étant natifs de cette région, avaient leur maison et le bonheur transpirait partout dans le foyer. Mais un beau jour, les questionnements ont commencé à se faire ressentir dans la maison : et s’ils décidaient de refaire leur vie en Mauricie? Et si mes parents quittaient notre merveilleuse région éloignée pour un milieu plus urbain… Les décisions se faisaient difficiles, et les conversations étaient longues et déchirantes.
Moi, Sarabie, j’ai pourtant toujours été au cœur de leurs réflexions : serais-je encore heureuse? Est-ce que je m’habituerais à ce nouveau mode de vie? Trouveraient-ils un logement pour nous accueillir tous les trois — moi, chien, et eux, humains? Et bien, leur bonheur comptait plus que tout, et ce changement de vie était rendu une évidence. C’est alors qu’en juillet passé, nous sommes tous déménagés en Mauricie.
Le défi avait pourtant été bien grand afin de trouver un loyer m’acceptant, mais ils y étaient parvenus! Hourra! Nous serions encore ensemble pour plusieurs années!
Mais, lors de leur départ, ça ne va pas du tout. Je suis apeurée, déboussolée et en crise. Je ne reconnais plus mes repères, j’ai peur qu’ils ne reviennent jamais et surtout, je suis en détresse. Avant, maman pouvait m’apporter partout avec elle, même au travail. Mais avec sa nouvelle vie, c’est devenu impossible! ☹
Sans reculer devant rien, ils rencontrent une comportementaliste pour les aider avec mes inquiétudes… travail de désensibilisation et balises mentales pour aider… Les semaines passent et les heures de travail m’effraient toujours autant. Lorsque mes parents rentrent à la maison, ils me retrouvent suintante et couverte de salive. Je suis épuisée et les voisins commencent à trouver ça moins drôle. Je les déçois, c’est évident, mais ici, ce n’est plus du tout la même ambiance qu’avant!
Ils ne veulent pas m’abandonner, donc plusieurs semaines passent encore et ils tentent d’introduire de la médication afin de m’apaiser, mais comble du malheur, c’est encore pire. Étrangement, je ne sais pas ce qu’il m’arrive et, avec les caméras de surveillance que mes parents ont mises, ils comprennent vite que leurs derniers espoirs s’envolent.
Les voisins multiplient les avis aux propriétaires, qui habituellement acceptent les chiens, mais avec ces vocalises toute la journée, ce n’est plus possible! À court de solutions, ils décident donc de recontacter mes deux anges gardiennes sans qui, aujourd’hui, je ne serais pas en vie. Ils ont pris trois semaines de congé pour retourner en Gaspésie le temps que les autres locataires aient une pause musicale bien méritée.
C’est donc aujourd’hui que je me présente à vous dans l’espoir que certains d’entre vous se souviennent de moi, alors que je n’étais encore qu’une toute petite maman et que je m’étais extirpée d’une fourrière à haut taux d’euthanasie.
Je m’appelle Sarabie, je suis âgée d’environ 3 ans et je suis la plus belle des demoiselles. Je suis possiblement une berger allemand croisée, d’où mon petit côté vocal. Je suis compatible avec les chiens et les humains bienveillants.
Si vous aimeriez me rencontrer afin de découvrir ma personnalité débordante de bonheur, ma joie de vivre contagieuse et aussi mes mimiques drôles à mourir, je vous invite humblement à remplir mon lien d’adoption.
Les filles du Domaine Animal espèrent tellement que certains d’entre vous se souviendront de moi… Elles disent que mon histoire a touché bien des âmes, et elles espèrent qu’aujourd’hui, certains d’entre eux qui n’avaient pas été choisis lors de ma sélection se remanifesteront. Oui, je m’appelle Sarabie, et je suis de retour au refuge après plus de 2 ans de cohabitation avec mes parents, puisque je suis malheureuse comme les pierres en appartement.
Au début de notre histoire d’amour, mes parents et moi habitions dans la merveilleuse région de la Gaspésie. Wow, le grand air, l’odeur saline, les vallées… bref, la belle vie quoi!
Mes parents, étant natifs de cette région, avaient leur maison et le bonheur transpirait partout dans le foyer. Mais un beau jour, les questionnements ont commencé à se faire ressentir dans la maison : et s’ils décidaient de refaire leur vie en Mauricie? Et si mes parents quittaient notre merveilleuse région éloignée pour un milieu plus urbain… Les décisions se faisaient difficiles, et les conversations étaient longues et déchirantes.
Moi, Sarabie, j’ai pourtant toujours été au cœur de leurs réflexions : serais-je encore heureuse? Est-ce que je m’habituerais à ce nouveau mode de vie? Trouveraient-ils un logement pour nous accueillir tous les trois — moi, chien, et eux, humains? Et bien, leur bonheur comptait plus que tout, et ce changement de vie était rendu une évidence. C’est alors qu’en juillet passé, nous sommes tous déménagés en Mauricie.
Le défi avait pourtant été bien grand afin de trouver un loyer m’acceptant, mais ils y étaient parvenus! Hourra! Nous serions encore ensemble pour plusieurs années!
Mais, lors de leur départ, ça ne va pas du tout. Je suis apeurée, déboussolée et en crise. Je ne reconnais plus mes repères, j’ai peur qu’ils ne reviennent jamais et surtout, je suis en détresse. Avant, maman pouvait m’apporter partout avec elle, même au travail. Mais avec sa nouvelle vie, c’est devenu impossible! ☹
Sans reculer devant rien, ils rencontrent une comportementaliste pour les aider avec mes inquiétudes… travail de désensibilisation et balises mentales pour aider… Les semaines passent et les heures de travail m’effraient toujours autant. Lorsque mes parents rentrent à la maison, ils me retrouvent suintante et couverte de salive. Je suis épuisée et les voisins commencent à trouver ça moins drôle. Je les déçois, c’est évident, mais ici, ce n’est plus du tout la même ambiance qu’avant!
Ils ne veulent pas m’abandonner, donc plusieurs semaines passent encore et ils tentent d’introduire de la médication afin de m’apaiser, mais comble du malheur, c’est encore pire. Étrangement, je ne sais pas ce qu’il m’arrive et, avec les caméras de surveillance que mes parents ont mises, ils comprennent vite que leurs derniers espoirs s’envolent.
Les voisins multiplient les avis aux propriétaires, qui habituellement acceptent les chiens, mais avec ces vocalises toute la journée, ce n’est plus possible! À court de solutions, ils décident donc de recontacter mes deux anges gardiennes sans qui, aujourd’hui, je ne serais pas en vie. Ils ont pris trois semaines de congé pour retourner en Gaspésie le temps que les autres locataires aient une pause musicale bien méritée.
C’est donc aujourd’hui que je me présente à vous dans l’espoir que certains d’entre vous se souviennent de moi, alors que je n’étais encore qu’une toute petite maman et que je m’étais extirpée d’une fourrière à haut taux d’euthanasie.
Je m’appelle Sarabie, je suis âgée d’environ 3 ans et je suis la plus belle des demoiselles. Je suis possiblement une berger allemand croisée, d’où mon petit côté vocal. Je suis compatible avec les chiens et les humains bienveillants.
Si vous aimeriez me rencontrer afin de découvrir ma personnalité débordante de bonheur, ma joie de vivre contagieuse et aussi mes mimiques drôles à mourir, je vous invite humblement à remplir mon lien d’adoption.
Les filles du Domaine Animal espèrent tellement que certains d’entre vous se souviendront de moi… Elles disent que mon histoire a touché bien des âmes, et elles espèrent qu’aujourd’hui, certains d’entre eux qui n’avaient pas été choisis lors de ma sélection se remanifesteront. Oui, je m’appelle Sarabie, et je suis de retour au refuge après plus de 2 ans de cohabitation avec mes parents, puisque je suis malheureuse comme les pierres en appartement.
Au début de notre histoire d’amour, mes parents et moi habitions dans la merveilleuse région de la Gaspésie. Wow, le grand air, l’odeur saline, les vallées… bref, la belle vie quoi!
Mes parents, étant natifs de cette région, avaient leur maison et le bonheur transpirait partout dans le foyer. Mais un beau jour, les questionnements ont commencé à se faire ressentir dans la maison : et s’ils décidaient de refaire leur vie en Mauricie? Et si mes parents quittaient notre merveilleuse région éloignée pour un milieu plus urbain… Les décisions se faisaient difficiles, et les conversations étaient longues et déchirantes.
Moi, Sarabie, j’ai pourtant toujours été au cœur de leurs réflexions : serais-je encore heureuse? Est-ce que je m’habituerais à ce nouveau mode de vie? Trouveraient-ils un logement pour nous accueillir tous les trois — moi, chien, et eux, humains? Et bien, leur bonheur comptait plus que tout, et ce changement de vie était rendu une évidence. C’est alors qu’en juillet passé, nous sommes tous déménagés en Mauricie.
Le défi avait pourtant été bien grand afin de trouver un loyer m’acceptant, mais ils y étaient parvenus! Hourra! Nous serions encore ensemble pour plusieurs années!
Mais, lors de leur départ, ça ne va pas du tout. Je suis apeurée, déboussolée et en crise. Je ne reconnais plus mes repères, j’ai peur qu’ils ne reviennent jamais et surtout, je suis en détresse. Avant, maman pouvait m’apporter partout avec elle, même au travail. Mais avec sa nouvelle vie, c’est devenu impossible! ☹
Sans reculer devant rien, ils rencontrent une comportementaliste pour les aider avec mes inquiétudes… travail de désensibilisation et balises mentales pour aider… Les semaines passent et les heures de travail m’effraient toujours autant. Lorsque mes parents rentrent à la maison, ils me retrouvent suintante et couverte de salive. Je suis épuisée et les voisins commencent à trouver ça moins drôle. Je les déçois, c’est évident, mais ici, ce n’est plus du tout la même ambiance qu’avant!
Ils ne veulent pas m’abandonner, donc plusieurs semaines passent encore et ils tentent d’introduire de la médication afin de m’apaiser, mais comble du malheur, c’est encore pire. Étrangement, je ne sais pas ce qu’il m’arrive et, avec les caméras de surveillance que mes parents ont mises, ils comprennent vite que leurs derniers espoirs s’envolent.
Les voisins multiplient les avis aux propriétaires, qui habituellement acceptent les chiens, mais avec ces vocalises toute la journée, ce n’est plus possible! À court de solutions, ils décident donc de recontacter mes deux anges gardiennes sans qui, aujourd’hui, je ne serais pas en vie. Ils ont pris trois semaines de congé pour retourner en Gaspésie le temps que les autres locataires aient une pause musicale bien méritée.
C’est donc aujourd’hui que je me présente à vous dans l’espoir que certains d’entre vous se souviennent de moi, alors que je n’étais encore qu’une toute petite maman et que je m’étais extirpée d’une fourrière à haut taux d’euthanasie.
Je m’appelle Sarabie, je suis âgée d’environ 3 ans et je suis la plus belle des demoiselles. Je suis possiblement une berger allemand croisée, d’où mon petit côté vocal. Je suis compatible avec les chiens et les humains bienveillants.
Si vous aimeriez me rencontrer afin de découvrir ma personnalité débordante de bonheur, ma joie de vivre contagieuse et aussi mes mimiques drôles à mourir, je vous invite humblement à remplir mon lien d’adoption.