Breaking News
Une pluie « trivienne » s’abat sur le Domaine Animal.
Des centaines d’appels tombent du ciel, transportant avec eux chatons, chats adultes, chats séniors et chattes gestantes. Les conduits débordent, ne laissant que très peu de place pour les prochaines averses félines de la saison.
Vous l’aurez compris, il s’agit d’une métaphore… mais elle résume parfaitement notre réalité, et celle de tous les refuges du Québec.
Et donc, une fois de plus, nous vous présentons de nouveaux arrivants au refuge.
Bonjour,
Nous sommes les petits nouveaux du refuge.
Oui, encore des chats. Toujours des chats…
Une gentille dame nous a pris sous son aile.
Ici, sur cette ferme, des dizaines et des dizaines de chats font leur apparition. Malgré les nombreux efforts que cette dame au cœur d’or déploie pour relocaliser sans cesse des chatons ou des chats adultes, il y en a toujours de nouveaux...
Le défi est bien plus grand qu’elle.
Sa bonté est prise pour acquise, puisque des humains viennent y abandonner des chats sans scrupule et sans droit.
C’est donc ainsi que nous avons, à notre tour, été pris en charge par cette femme au cœur d’or…
Il paraît que c’est une histoire qui se répète encore et encore au Québec.
Et nous rêvons tous du jour où la stérilisation sera mieux encadrée, plus accessible, et surtout, considérée comme une priorité.
Mais dites-nous…
Pourquoi ne sommes-nous pas considérés comme les chiens ?
Voyez-vous des gens abandonner leur chien sur le terrain du voisin ? Non.
Voyez-vous des chiens errants faire librement des portées, qui deviennent ensuite sauvages et perpétuent le cycle ? Non.
Alors pourquoi ne prenons-nous pas la surpopulation féline au sérieux ?
Heureusement, certains citoyens ont le cœur bien plus grand.
Grâce à la bienveillance de ces personnes, nous avons été confiés à un refuge qui croit que chaque vie animale mérite d’être sauvée, soignée et aimée.
Nous espérons maintenant, à notre tour, trouver notre chemin vers l’amour d’un foyer.
Et nous sommes confiants que nos anges du refuge nous confieront à des familles conscientes des responsabilités qui viennent avec l’adoption.
P.S. Encore aucun chat noir n’a été adopté depuis la publication sur le fléau de discrimination envers leur couleur… En combien de temps pensez-vous que les jolis petits chats blancs quitteront le refuge ? Deux ou trois jours, peut-être ?
S’il vous plaît, prenez en considération l’adoption d’un chat noir autant que celle d’un chat blanc. Ils ont tout autant d’amour à donner.
Breaking News
Une pluie « trivienne » s’abat sur le Domaine Animal.
Des centaines d’appels tombent du ciel, transportant avec eux chatons, chats adultes, chats séniors et chattes gestantes. Les conduits débordent, ne laissant que très peu de place pour les prochaines averses félines de la saison.
Vous l’aurez compris, il s’agit d’une métaphore… mais elle résume parfaitement notre réalité, et celle de tous les refuges du Québec.
Et donc, une fois de plus, nous vous présentons de nouveaux arrivants au refuge.
Bonjour,
Nous sommes les petits nouveaux du refuge.
Oui, encore des chats. Toujours des chats…
Une gentille dame nous a pris sous son aile.
Ici, sur cette ferme, des dizaines et des dizaines de chats font leur apparition. Malgré les nombreux efforts que cette dame au cœur d’or déploie pour relocaliser sans cesse des chatons ou des chats adultes, il y en a toujours de nouveaux...
Le défi est bien plus grand qu’elle.
Sa bonté est prise pour acquise, puisque des humains viennent y abandonner des chats sans scrupule et sans droit.
C’est donc ainsi que nous avons, à notre tour, été pris en charge par cette femme au cœur d’or…
Il paraît que c’est une histoire qui se répète encore et encore au Québec.
Et nous rêvons tous du jour où la stérilisation sera mieux encadrée, plus accessible, et surtout, considérée comme une priorité.
Mais dites-nous…
Pourquoi ne sommes-nous pas considérés comme les chiens ?
Voyez-vous des gens abandonner leur chien sur le terrain du voisin ? Non.
Voyez-vous des chiens errants faire librement des portées, qui deviennent ensuite sauvages et perpétuent le cycle ? Non.
Alors pourquoi ne prenons-nous pas la surpopulation féline au sérieux ?
Heureusement, certains citoyens ont le cœur bien plus grand.
Grâce à la bienveillance de ces personnes, nous avons été confiés à un refuge qui croit que chaque vie animale mérite d’être sauvée, soignée et aimée.
Nous espérons maintenant, à notre tour, trouver notre chemin vers l’amour d’un foyer.
Et nous sommes confiants que nos anges du refuge nous confieront à des familles conscientes des responsabilités qui viennent avec l’adoption.
P.S. Encore aucun chat noir n’a été adopté depuis la publication sur le fléau de discrimination envers leur couleur… En combien de temps pensez-vous que les jolis petits chats blancs quitteront le refuge ? Deux ou trois jours, peut-être ?
S’il vous plaît, prenez en considération l’adoption d’un chat noir autant que celle d’un chat blanc. Ils ont tout autant d’amour à donner.
Breaking News
Une pluie « trivienne » s’abat sur le Domaine Animal.
Des centaines d’appels tombent du ciel, transportant avec eux chatons, chats adultes, chats séniors et chattes gestantes. Les conduits débordent, ne laissant que très peu de place pour les prochaines averses félines de la saison.
Vous l’aurez compris, il s’agit d’une métaphore… mais elle résume parfaitement notre réalité, et celle de tous les refuges du Québec.
Et donc, une fois de plus, nous vous présentons de nouveaux arrivants au refuge.
Bonjour,
Nous sommes les petits nouveaux du refuge.
Oui, encore des chats. Toujours des chats…
Une gentille dame nous a pris sous son aile.
Ici, sur cette ferme, des dizaines et des dizaines de chats font leur apparition. Malgré les nombreux efforts que cette dame au cœur d’or déploie pour relocaliser sans cesse des chatons ou des chats adultes, il y en a toujours de nouveaux...
Le défi est bien plus grand qu’elle.
Sa bonté est prise pour acquise, puisque des humains viennent y abandonner des chats sans scrupule et sans droit.
C’est donc ainsi que nous avons, à notre tour, été pris en charge par cette femme au cœur d’or…
Il paraît que c’est une histoire qui se répète encore et encore au Québec.
Et nous rêvons tous du jour où la stérilisation sera mieux encadrée, plus accessible, et surtout, considérée comme une priorité.
Mais dites-nous…
Pourquoi ne sommes-nous pas considérés comme les chiens ?
Voyez-vous des gens abandonner leur chien sur le terrain du voisin ? Non.
Voyez-vous des chiens errants faire librement des portées, qui deviennent ensuite sauvages et perpétuent le cycle ? Non.
Alors pourquoi ne prenons-nous pas la surpopulation féline au sérieux ?
Heureusement, certains citoyens ont le cœur bien plus grand.
Grâce à la bienveillance de ces personnes, nous avons été confiés à un refuge qui croit que chaque vie animale mérite d’être sauvée, soignée et aimée.
Nous espérons maintenant, à notre tour, trouver notre chemin vers l’amour d’un foyer.
Et nous sommes confiants que nos anges du refuge nous confieront à des familles conscientes des responsabilités qui viennent avec l’adoption.
P.S. Encore aucun chat noir n’a été adopté depuis la publication sur le fléau de discrimination envers leur couleur… En combien de temps pensez-vous que les jolis petits chats blancs quitteront le refuge ? Deux ou trois jours, peut-être ?
S’il vous plaît, prenez en considération l’adoption d’un chat noir autant que celle d’un chat blanc. Ils ont tout autant d’amour à donner.