Et si nous n’avions pas répondu ce vendredi soir, veille de vacances… Et si le refuge n’existait pas… Lucie serait bel et bien morte.
Lucie, jeune chatte âgée d’à peine 8 mois…
Mais vous nous direz : comment est-ce possible qu’une chatte si jeune se retrouve à un poil de l’euthanasie ?
Eh bien, lorsqu’elle arrive à son hôpital vétérinaire, elle est semi-consciente… et en plein accouchement.
Vu son très, très jeune âge, elle n’arrive pas à mettre bas seule.
Et oui, elle a été enfermée pendant trois jours, sans personne à la maison. Les humains qui s’occupaient d’elle s’étaient absentés, et à leur retour, Lucie gisait là, un petit coincé en plein passage.
Combien de temps est-elle restée ainsi, à souffrir de contractions en vain, à espérer que quelqu’un vienne à son secours ? À espérer qu’elle vaille suffisamment la peine pour qu’on tente quelque chose…
Ce vendredi soir-là, une technicienne en santé animale, dévouée et à bout de ressources, nous contacte. Pleine d’espoir, elle pose la question :
« Pouvez-vous prendre en charge cette chatte en pleine mise bas ? Elle est dans un sale état, mais on veut tout faire pour elle. Si vous dites oui, on fonce. On ne veut pas l’euthanasier, on ne veut vraiment pas… mais si on ne trouve personne pour assumer cette facture de plus de 2 000 $, elle n’aura aucune autre option… »
Comment dire non ?
Comment accepter l’inacceptable ?
Comment vivre avec un tel refus sur la conscience ?
Ce soir-là, vendredi, nous disons oui.
Et nous trouverons les sous après. Parce que chaque minute compte pour Lucie.
Parce qu’on veut sauver cette vie que d’autres auraient balayée d’un revers de main.
Lucie, nous serons avec toi.
S’il te plaît, bats-toi.
Nous en sommes rendus à un point où la médecine est si avancée que l’enjeu n’est plus médical… mais monétaire.
Une césarienne d’urgence, c’est une manœuvre intense, mais porteuse d’un espoir réel.
Et Lucie s’en est pleinement remise.
*Malheureusement aucun bébés n'a survécu.
Elle est d’une douceur à faire fondre, une vraie petite perle.
Elle est enfin prête à rencontrer des humains à sa hauteur.
Des parents dignes de son destin.
Merci d’encourager notre refuge.
Merci d’adopter via le Domaine Animal, parce qu’ici, chaque vie compte vraiment.
Et aujourd’hui, c’est une Lucie de plus pour vous le prouver.
Et si nous n’avions pas répondu ce vendredi soir, veille de vacances… Et si le refuge n’existait pas… Lucie serait bel et bien morte.
Lucie, jeune chatte âgée d’à peine 8 mois…
Mais vous nous direz : comment est-ce possible qu’une chatte si jeune se retrouve à un poil de l’euthanasie ?
Eh bien, lorsqu’elle arrive à son hôpital vétérinaire, elle est semi-consciente… et en plein accouchement.
Vu son très, très jeune âge, elle n’arrive pas à mettre bas seule.
Et oui, elle a été enfermée pendant trois jours, sans personne à la maison. Les humains qui s’occupaient d’elle s’étaient absentés, et à leur retour, Lucie gisait là, un petit coincé en plein passage.
Combien de temps est-elle restée ainsi, à souffrir de contractions en vain, à espérer que quelqu’un vienne à son secours ? À espérer qu’elle vaille suffisamment la peine pour qu’on tente quelque chose…
Ce vendredi soir-là, une technicienne en santé animale, dévouée et à bout de ressources, nous contacte. Pleine d’espoir, elle pose la question :
« Pouvez-vous prendre en charge cette chatte en pleine mise bas ? Elle est dans un sale état, mais on veut tout faire pour elle. Si vous dites oui, on fonce. On ne veut pas l’euthanasier, on ne veut vraiment pas… mais si on ne trouve personne pour assumer cette facture de plus de 2 000 $, elle n’aura aucune autre option… »
Comment dire non ?
Comment accepter l’inacceptable ?
Comment vivre avec un tel refus sur la conscience ?
Ce soir-là, vendredi, nous disons oui.
Et nous trouverons les sous après. Parce que chaque minute compte pour Lucie.
Parce qu’on veut sauver cette vie que d’autres auraient balayée d’un revers de main.
Lucie, nous serons avec toi.
S’il te plaît, bats-toi.
Nous en sommes rendus à un point où la médecine est si avancée que l’enjeu n’est plus médical… mais monétaire.
Une césarienne d’urgence, c’est une manœuvre intense, mais porteuse d’un espoir réel.
Et Lucie s’en est pleinement remise.
*Malheureusement aucun bébés n'a survécu.
Elle est d’une douceur à faire fondre, une vraie petite perle.
Elle est enfin prête à rencontrer des humains à sa hauteur.
Des parents dignes de son destin.
Merci d’encourager notre refuge.
Merci d’adopter via le Domaine Animal, parce qu’ici, chaque vie compte vraiment.
Et aujourd’hui, c’est une Lucie de plus pour vous le prouver.
Et si nous n’avions pas répondu ce vendredi soir, veille de vacances… Et si le refuge n’existait pas… Lucie serait bel et bien morte.
Lucie, jeune chatte âgée d’à peine 8 mois…
Mais vous nous direz : comment est-ce possible qu’une chatte si jeune se retrouve à un poil de l’euthanasie ?
Eh bien, lorsqu’elle arrive à son hôpital vétérinaire, elle est semi-consciente… et en plein accouchement.
Vu son très, très jeune âge, elle n’arrive pas à mettre bas seule.
Et oui, elle a été enfermée pendant trois jours, sans personne à la maison. Les humains qui s’occupaient d’elle s’étaient absentés, et à leur retour, Lucie gisait là, un petit coincé en plein passage.
Combien de temps est-elle restée ainsi, à souffrir de contractions en vain, à espérer que quelqu’un vienne à son secours ? À espérer qu’elle vaille suffisamment la peine pour qu’on tente quelque chose…
Ce vendredi soir-là, une technicienne en santé animale, dévouée et à bout de ressources, nous contacte. Pleine d’espoir, elle pose la question :
« Pouvez-vous prendre en charge cette chatte en pleine mise bas ? Elle est dans un sale état, mais on veut tout faire pour elle. Si vous dites oui, on fonce. On ne veut pas l’euthanasier, on ne veut vraiment pas… mais si on ne trouve personne pour assumer cette facture de plus de 2 000 $, elle n’aura aucune autre option… »
Comment dire non ?
Comment accepter l’inacceptable ?
Comment vivre avec un tel refus sur la conscience ?
Ce soir-là, vendredi, nous disons oui.
Et nous trouverons les sous après. Parce que chaque minute compte pour Lucie.
Parce qu’on veut sauver cette vie que d’autres auraient balayée d’un revers de main.
Lucie, nous serons avec toi.
S’il te plaît, bats-toi.
Nous en sommes rendus à un point où la médecine est si avancée que l’enjeu n’est plus médical… mais monétaire.
Une césarienne d’urgence, c’est une manœuvre intense, mais porteuse d’un espoir réel.
Et Lucie s’en est pleinement remise.
*Malheureusement aucun bébés n'a survécu.
Elle est d’une douceur à faire fondre, une vraie petite perle.
Elle est enfin prête à rencontrer des humains à sa hauteur.
Des parents dignes de son destin.
Merci d’encourager notre refuge.
Merci d’adopter via le Domaine Animal, parce qu’ici, chaque vie compte vraiment.
Et aujourd’hui, c’est une Lucie de plus pour vous le prouver.