Quand même les chats sombrent dans la dépression… La santé mentale, c’est important pour tous.
Jules, alias l’Eisenstein des chats actuellement en dépression majeure.
______________________________________
Salut,
J’écris ces lignes depuis ma prison… un endroit affreusement sordide pour moi, mais tristement normal pour la majorité des chats. Les filles disent que je suis un vrai génie… mais vous savez, parfois, le génie frôle la folie.
Laissez-moi vous raconter mon histoire.
Tout a commencé à Shawinigan, alors que j’étais encore un heureux chaton.
Roux, brillant, affectueux : autant dire parfait!
À cette époque, j’étais sans contredit le chaton le plus heureux du monde. Particulièrement futé et débrouillard, j’avais toute la vie devant moi…
Jusqu’au jour où j’ai été capturé par un organisme tentant de freiner la surpopulation féline. Rapidement placé à l’adoption, j’ai vite été perçu comme un candidat prometteur : charmant, curieux, enjoué. Mais un petit hic est venu brouiller les cartes : un test sanguin a révélé que j’étais porteur du FIV.
(Rien de bien grave en soi! Ça veut seulement dire que je dois vivre sans autres chats non porteurs, pour éviter les transmissions. Et pas d’inquiétude : ce n’est pas contagieux pour les humains ni pour les chiens!)
À ce moment-là, j’ai eu si peur… peur de rester enfermé entre quatre murs pour toujours.
Mais ma bonne étoile s’est remise à briller. En pleine pandémie, une femme fantastique a postulé pour m’adopter. Et cerise sur le sundae : elle avait déjà un autre chat porteur du FIV, un futur grand frère pour moi! Scénario parfait, non?
J’étais encore tout jeune, à peine un an, quand je suis arrivé dans mon nouvel appartement à Québec. Mais je venais d’un monde où j’étais libre comme l’air. Je chassais les souris, je mangeais les sauterelles, je me prélassais au soleil… une vraie vie de rêve.
Brutalement interrompue par ma capture.
Au début, j’étais un chaton modèle. Mais avec les semaines, l’ennui s’est installé. Un 4½ au deuxième étage, c’est bien pour certains… mais pour moi, c’était l’enfer.
Allô, personne ne se souvient que je suis bourré de potentiel? Que je suis différent du lot?
Je n’avais pas le droit de sortir, et je m’ennuyais terriblement. Alors j’ai commencé à jouer plus fort avec mon frère. Une bagarre, c’est mieux que rien. C’était au moins un peu d’action dans mes journées longues et monotones.
La majorité des chats rêvent de paresser au soleil. Moi? Je rêve d’aventure et d’adrénaline.
Et c’est là que la dépression a commencé à s’installer.
Maman a consulté un éduchateur pour m’aider à canaliser mon énergie, puisque déménager n’était pas une option. On m’a enseigné des tours pour me stimuler mentalement… et, évidemment, j’ai excellé! Je connais le commandement du toucher, et je suis un pro des bols interactifs. Je vous mets au défi de m’en trouver un que je ne résous pas en quelques minutes. Je ne veux pas me vanter, mais oui : je suis un génie.
Mais malgré tous les efforts, je continuais de me chamailler avec mon frère.
Alors, pour lui offrir du répit et me donner plus d’espace, on m’a confié à la maman de ma maman.
Là-bas, il y avait un chihuahua. Bonne nouvelle, non? J’allais peut-être pouvoir me divertir.
La maison était un peu plus grande… mais fini les bols interactifs, fini les séances de stimulation mentale.
Deux années ont passé, sans incident majeur. Mais moi, je me suis éteint.
Ici, c’est l’ennui mortel. Je suis devenu obèse. Rien ne me rend heureux. À force de tourner en rond, j’ai développé de l’agressivité.
Imaginez-vous enfermés chez vous pendant trois ans, sans rien faire.
Je suis un humain coincé dans un corps de chat… et je deviens fou.
Sortez-moi d’ici! C’est de la torture.
J’ai commencé à faire pipi un peu partout pour exprimer mon désespoir.
Je n’en peux plus. Il DOIT se passer quelque chose. J’ai besoin de bouger, de vivre!
Imaginez un chien enfermé dans une cage 24 heures sur 24 — c’est littéralement moi, version féline.
Madame belle maman, ne m’a jamais vraiment voulu. Elle m’a hébergé pour rendre service à sa fille, mais elle ne m’a pas choisi. Elle a subi.
Et maintenant, c’est assez. L’euthanasie plane au-dessus de ma tête comme une menace bien réelle.
Et honnêtement… aujourd’hui, si vous me demandiez de continuer cette vie encore des années, ou d’en finir, je ne sais même pas ce que je choisirais. Je suis si profondément malheureux. Mon ancienne vie me manque terriblement.
Qu’est-ce qui est le pire : mourir lentement… ou en finir?
Ma première maman, elle, ne veut pas ça. Elle sait que je suis un bon garçon quand je suis heureux. Elle a fait tout vérifier : je n’ai aucun problème urinaire. Rien. Nada.
On comprend enfin que je suis simplement à bout.
Être enfermé dans une maison sans stimulations, coincé avec un chien, sans contact, sans but… c’est l’enfer. Il faut que ça cesse.
Heureusement, ici, les filles du refuge y croient encore.
Elles savent que j’ai encore de si beaux jours devant moi… mais ailleurs.
Elles voient l’espoir que moi, je ne vois plus.
Elles me chuchotent à l’oreille que je retrouverai la joie de vivre. Que quelque part, une famille comprendra mes besoins et m’aimera pour qui je suis.
Qu’ailleurs, je ferai le bonheur de quelqu’un, et que ce quelqu’un fera le mien.
Moi, j’y croyais plus. Mais peut-être qu’elles ont raison. Peut-être que le bonheur existe encore.
Peut-être que quelqu’un me lira, et viendra me chercher.
Je veux retrouver ma vie d’avant.
Sortir dehors en laisse, ou dans un catio. Chasser ma nourriture, ou résoudre des énigmes avec mes bols ralentisseurs de niveau expert. Apprendre des dizaines de tours. Devenir la fierté de ma nouvelle famille. Être stimulé, aimé, compris.
Je m’appelle Jules. Je suis différent. Je suis un Einstein à quatre pattes.
Mais je vous en supplie : sortez-moi d’ici. Je n’en peux plus.
Jules, qui rêve d’une vie stimulante, pleine d’aventures comme avant… et d’amour comme jamais.
Merci de croire en moi, même quand je n’y crois plus. Merci de m’aider à vivre.
Quand même les chats sombrent dans la dépression… La santé mentale, c’est important pour tous.
Jules, alias l’Eisenstein des chats actuellement en dépression majeure.
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Salut,
J’écris ces lignes depuis ma prison… un endroit affreusement sordide pour moi, mais tristement normal pour la majorité des chats. Les filles disent que je suis un vrai génie… mais vous savez, parfois, le génie frôle la folie.
Laissez-moi vous raconter mon histoire.
Tout a commencé à Shawinigan, alors que j’étais encore un heureux chaton.
Roux, brillant, affectueux : autant dire parfait!
À cette époque, j’étais sans contredit le chaton le plus heureux du monde. Particulièrement futé et débrouillard, j’avais toute la vie devant moi…
Jusqu’au jour où j’ai été capturé par un organisme tentant de freiner la surpopulation féline. Rapidement placé à l’adoption, j’ai vite été perçu comme un candidat prometteur : charmant, curieux, enjoué. Mais un petit hic est venu brouiller les cartes : un test sanguin a révélé que j’étais porteur du FIV.
(Rien de bien grave en soi! Ça veut seulement dire que je dois vivre sans autres chats non porteurs, pour éviter les transmissions. Et pas d’inquiétude : ce n’est pas contagieux pour les humains ni pour les chiens!)
À ce moment-là, j’ai eu si peur… peur de rester enfermé entre quatre murs pour toujours.
Mais ma bonne étoile s’est remise à briller. En pleine pandémie, une femme fantastique a postulé pour m’adopter. Et cerise sur le sundae : elle avait déjà un autre chat porteur du FIV, un futur grand frère pour moi! Scénario parfait, non?
J’étais encore tout jeune, à peine un an, quand je suis arrivé dans mon nouvel appartement à Québec. Mais je venais d’un monde où j’étais libre comme l’air. Je chassais les souris, je mangeais les sauterelles, je me prélassais au soleil… une vraie vie de rêve.
Brutalement interrompue par ma capture.
Au début, j’étais un chaton modèle. Mais avec les semaines, l’ennui s’est installé. Un 4½ au deuxième étage, c’est bien pour certains… mais pour moi, c’était l’enfer.
Allô, personne ne se souvient que je suis bourré de potentiel? Que je suis différent du lot?
Je n’avais pas le droit de sortir, et je m’ennuyais terriblement. Alors j’ai commencé à jouer plus fort avec mon frère. Une bagarre, c’est mieux que rien. C’était au moins un peu d’action dans mes journées longues et monotones.
La majorité des chats rêvent de paresser au soleil. Moi? Je rêve d’aventure et d’adrénaline.
Et c’est là que la dépression a commencé à s’installer.
Maman a consulté un éduchateur pour m’aider à canaliser mon énergie, puisque déménager n’était pas une option. On m’a enseigné des tours pour me stimuler mentalement… et, évidemment, j’ai excellé! Je connais le commandement du toucher, et je suis un pro des bols interactifs. Je vous mets au défi de m’en trouver un que je ne résous pas en quelques minutes. Je ne veux pas me vanter, mais oui : je suis un génie.
Mais malgré tous les efforts, je continuais de me chamailler avec mon frère.
Alors, pour lui offrir du répit et me donner plus d’espace, on m’a confié à la maman de ma maman.
Là-bas, il y avait un chihuahua. Bonne nouvelle, non? J’allais peut-être pouvoir me divertir.
La maison était un peu plus grande… mais fini les bols interactifs, fini les séances de stimulation mentale.
Deux années ont passé, sans incident majeur. Mais moi, je me suis éteint.
Ici, c’est l’ennui mortel. Je suis devenu obèse. Rien ne me rend heureux. À force de tourner en rond, j’ai développé de l’agressivité.
Imaginez-vous enfermés chez vous pendant trois ans, sans rien faire.
Je suis un humain coincé dans un corps de chat… et je deviens fou.
Sortez-moi d’ici! C’est de la torture.
J’ai commencé à faire pipi un peu partout pour exprimer mon désespoir.
Je n’en peux plus. Il DOIT se passer quelque chose. J’ai besoin de bouger, de vivre!
Imaginez un chien enfermé dans une cage 24 heures sur 24 — c’est littéralement moi, version féline.
Madame belle maman, ne m’a jamais vraiment voulu. Elle m’a hébergé pour rendre service à sa fille, mais elle ne m’a pas choisi. Elle a subi.
Et maintenant, c’est assez. L’euthanasie plane au-dessus de ma tête comme une menace bien réelle.
Et honnêtement… aujourd’hui, si vous me demandiez de continuer cette vie encore des années, ou d’en finir, je ne sais même pas ce que je choisirais. Je suis si profondément malheureux. Mon ancienne vie me manque terriblement.
Qu’est-ce qui est le pire : mourir lentement… ou en finir?
Ma première maman, elle, ne veut pas ça. Elle sait que je suis un bon garçon quand je suis heureux. Elle a fait tout vérifier : je n’ai aucun problème urinaire. Rien. Nada.
On comprend enfin que je suis simplement à bout.
Être enfermé dans une maison sans stimulations, coincé avec un chien, sans contact, sans but… c’est l’enfer. Il faut que ça cesse.
Heureusement, ici, les filles du refuge y croient encore.
Elles savent que j’ai encore de si beaux jours devant moi… mais ailleurs.
Elles voient l’espoir que moi, je ne vois plus.
Elles me chuchotent à l’oreille que je retrouverai la joie de vivre. Que quelque part, une famille comprendra mes besoins et m’aimera pour qui je suis.
Qu’ailleurs, je ferai le bonheur de quelqu’un, et que ce quelqu’un fera le mien.
Moi, j’y croyais plus. Mais peut-être qu’elles ont raison. Peut-être que le bonheur existe encore.
Peut-être que quelqu’un me lira, et viendra me chercher.
Je veux retrouver ma vie d’avant.
Sortir dehors en laisse, ou dans un catio. Chasser ma nourriture, ou résoudre des énigmes avec mes bols ralentisseurs de niveau expert. Apprendre des dizaines de tours. Devenir la fierté de ma nouvelle famille. Être stimulé, aimé, compris.
Je m’appelle Jules. Je suis différent. Je suis un Einstein à quatre pattes.
Mais je vous en supplie : sortez-moi d’ici. Je n’en peux plus.
Jules, qui rêve d’une vie stimulante, pleine d’aventures comme avant… et d’amour comme jamais.
Merci de croire en moi, même quand je n’y crois plus. Merci de m’aider à vivre.
Quand même les chats sombrent dans la dépression… La santé mentale, c’est important pour tous.
Jules, alias l’Eisenstein des chats actuellement en dépression majeure.
______________________________________
Salut,
J’écris ces lignes depuis ma prison… un endroit affreusement sordide pour moi, mais tristement normal pour la majorité des chats. Les filles disent que je suis un vrai génie… mais vous savez, parfois, le génie frôle la folie.
Laissez-moi vous raconter mon histoire.
Tout a commencé à Shawinigan, alors que j’étais encore un heureux chaton.
Roux, brillant, affectueux : autant dire parfait!
À cette époque, j’étais sans contredit le chaton le plus heureux du monde. Particulièrement futé et débrouillard, j’avais toute la vie devant moi…
Jusqu’au jour où j’ai été capturé par un organisme tentant de freiner la surpopulation féline. Rapidement placé à l’adoption, j’ai vite été perçu comme un candidat prometteur : charmant, curieux, enjoué. Mais un petit hic est venu brouiller les cartes : un test sanguin a révélé que j’étais porteur du FIV.
(Rien de bien grave en soi! Ça veut seulement dire que je dois vivre sans autres chats non porteurs, pour éviter les transmissions. Et pas d’inquiétude : ce n’est pas contagieux pour les humains ni pour les chiens!)
À ce moment-là, j’ai eu si peur… peur de rester enfermé entre quatre murs pour toujours.
Mais ma bonne étoile s’est remise à briller. En pleine pandémie, une femme fantastique a postulé pour m’adopter. Et cerise sur le sundae : elle avait déjà un autre chat porteur du FIV, un futur grand frère pour moi! Scénario parfait, non?
J’étais encore tout jeune, à peine un an, quand je suis arrivé dans mon nouvel appartement à Québec. Mais je venais d’un monde où j’étais libre comme l’air. Je chassais les souris, je mangeais les sauterelles, je me prélassais au soleil… une vraie vie de rêve.
Brutalement interrompue par ma capture.
Au début, j’étais un chaton modèle. Mais avec les semaines, l’ennui s’est installé. Un 4½ au deuxième étage, c’est bien pour certains… mais pour moi, c’était l’enfer.
Allô, personne ne se souvient que je suis bourré de potentiel? Que je suis différent du lot?
Je n’avais pas le droit de sortir, et je m’ennuyais terriblement. Alors j’ai commencé à jouer plus fort avec mon frère. Une bagarre, c’est mieux que rien. C’était au moins un peu d’action dans mes journées longues et monotones.
La majorité des chats rêvent de paresser au soleil. Moi? Je rêve d’aventure et d’adrénaline.
Et c’est là que la dépression a commencé à s’installer.
Maman a consulté un éduchateur pour m’aider à canaliser mon énergie, puisque déménager n’était pas une option. On m’a enseigné des tours pour me stimuler mentalement… et, évidemment, j’ai excellé! Je connais le commandement du toucher, et je suis un pro des bols interactifs. Je vous mets au défi de m’en trouver un que je ne résous pas en quelques minutes. Je ne veux pas me vanter, mais oui : je suis un génie.
Mais malgré tous les efforts, je continuais de me chamailler avec mon frère.
Alors, pour lui offrir du répit et me donner plus d’espace, on m’a confié à la maman de ma maman.
Là-bas, il y avait un chihuahua. Bonne nouvelle, non? J’allais peut-être pouvoir me divertir.
La maison était un peu plus grande… mais fini les bols interactifs, fini les séances de stimulation mentale.
Deux années ont passé, sans incident majeur. Mais moi, je me suis éteint.
Ici, c’est l’ennui mortel. Je suis devenu obèse. Rien ne me rend heureux. À force de tourner en rond, j’ai développé de l’agressivité.
Imaginez-vous enfermés chez vous pendant trois ans, sans rien faire.
Je suis un humain coincé dans un corps de chat… et je deviens fou.
Sortez-moi d’ici! C’est de la torture.
J’ai commencé à faire pipi un peu partout pour exprimer mon désespoir.
Je n’en peux plus. Il DOIT se passer quelque chose. J’ai besoin de bouger, de vivre!
Imaginez un chien enfermé dans une cage 24 heures sur 24 — c’est littéralement moi, version féline.
Madame belle maman, ne m’a jamais vraiment voulu. Elle m’a hébergé pour rendre service à sa fille, mais elle ne m’a pas choisi. Elle a subi.
Et maintenant, c’est assez. L’euthanasie plane au-dessus de ma tête comme une menace bien réelle.
Et honnêtement… aujourd’hui, si vous me demandiez de continuer cette vie encore des années, ou d’en finir, je ne sais même pas ce que je choisirais. Je suis si profondément malheureux. Mon ancienne vie me manque terriblement.
Qu’est-ce qui est le pire : mourir lentement… ou en finir?
Ma première maman, elle, ne veut pas ça. Elle sait que je suis un bon garçon quand je suis heureux. Elle a fait tout vérifier : je n’ai aucun problème urinaire. Rien. Nada.
On comprend enfin que je suis simplement à bout.
Être enfermé dans une maison sans stimulations, coincé avec un chien, sans contact, sans but… c’est l’enfer. Il faut que ça cesse.
Heureusement, ici, les filles du refuge y croient encore.
Elles savent que j’ai encore de si beaux jours devant moi… mais ailleurs.
Elles voient l’espoir que moi, je ne vois plus.
Elles me chuchotent à l’oreille que je retrouverai la joie de vivre. Que quelque part, une famille comprendra mes besoins et m’aimera pour qui je suis.
Qu’ailleurs, je ferai le bonheur de quelqu’un, et que ce quelqu’un fera le mien.
Moi, j’y croyais plus. Mais peut-être qu’elles ont raison. Peut-être que le bonheur existe encore.
Peut-être que quelqu’un me lira, et viendra me chercher.
Je veux retrouver ma vie d’avant.
Sortir dehors en laisse, ou dans un catio. Chasser ma nourriture, ou résoudre des énigmes avec mes bols ralentisseurs de niveau expert. Apprendre des dizaines de tours. Devenir la fierté de ma nouvelle famille. Être stimulé, aimé, compris.
Je m’appelle Jules. Je suis différent. Je suis un Einstein à quatre pattes.
Mais je vous en supplie : sortez-moi d’ici. Je n’en peux plus.
Jules, qui rêve d’une vie stimulante, pleine d’aventures comme avant… et d’amour comme jamais.
Merci de croire en moi, même quand je n’y crois plus. Merci de m’aider à vivre.