Flocky l’incompris
Je m’appelle Flocky, et je crois que j’ai de fortes chances de remporter le titre du plus long résident de l’histoire du Domaine Animal… à moins qu’un petit miracle ne se produise.
Je suis arrivé ici parce que le bébé de ma famille était, pour moi, une petite proie amusante à traquer. Je n’étais plus tout à fait à ma place depuis que ce mini humain a fait son apparition dans mon royaume.
J’ai toujours été un chat bien spécial, vous savez. Maman me l’a souvent dit.
J’avais mes habitudes bien à moi, mon petit univers, mes règles non écrites que ma maman avait apprises à décoder et surtout, à aimer.
Mais comme mon besoin de « chasser » le petit humain s’aggravait avec le temps, il a fallu se rendre à l’évidence : nos chemins devaient se séparer.
Quand je suis arrivé au refuge, j’étais troublé.
Il était hors de question que qui que ce soit m’approche, me touche ou tente de me réconforter.
Même si j’ai toujours été un chat courageux, je dois avouer que je me sentais tout petit ici, et que cet environnement si différent me poussait à repousser chaque être vivant qui entrait dans ma bulle.
J’avais l’habitude de me promener librement sur le terrain, de chasser ou simplement de profiter du soleil.
Ici, il n’y a ni soleil, ni gazon vert, ni liberté.
J’avais l’habitude de vivre dans une maison calme et douce… Ici, tout est bruyant et odorant.
Mais le temps a fait son œuvre.
Aujourd’hui, je me suis adapté à ma réalité. J’ai compris que les humains d’ici ne me veulent aucun mal.
Je garde encore ma petite réserve, mais je commence à aller vers eux, doucement, quand mon cœur me le dit.
J’aime maintenant me faire flatter à mes heures, selon mes envies.
Cela fait maintenant plus de quatre semaines que je suis au refuge, et même si l’attente se poursuit, je me sens plus prêt que jamais à trouver ma nouvelle famille.
Ce qu’il me faudrait ?
Une personne seule ou un couple sans enfants ni animaux, qui voudrait m’offrir un peu de liberté sécuritaire.
Une famille qui verrait au-delà de ma personnalité bien spéciale, et qui m’offrirait la chance de continuer à évoluer à mon rythme, entouré de douceur et de respect.
Mon adoption est humanitaire, sans frais d’adoption, simplement dans l’espoir de me donner une vraie seconde chance.
Venez me voir… Peut-être qu’un simple regard suffira pour vous donner envie de me laisser une chance.
Flocky l’incompris
Je m’appelle Flocky, et je crois que j’ai de fortes chances de remporter le titre du plus long résident de l’histoire du Domaine Animal… à moins qu’un petit miracle ne se produise.
Je suis arrivé ici parce que le bébé de ma famille était, pour moi, une petite proie amusante à traquer. Je n’étais plus tout à fait à ma place depuis que ce mini humain a fait son apparition dans mon royaume.
J’ai toujours été un chat bien spécial, vous savez. Maman me l’a souvent dit.
J’avais mes habitudes bien à moi, mon petit univers, mes règles non écrites que ma maman avait apprises à décoder et surtout, à aimer.
Mais comme mon besoin de « chasser » le petit humain s’aggravait avec le temps, il a fallu se rendre à l’évidence : nos chemins devaient se séparer.
Quand je suis arrivé au refuge, j’étais troublé.
Il était hors de question que qui que ce soit m’approche, me touche ou tente de me réconforter.
Même si j’ai toujours été un chat courageux, je dois avouer que je me sentais tout petit ici, et que cet environnement si différent me poussait à repousser chaque être vivant qui entrait dans ma bulle.
J’avais l’habitude de me promener librement sur le terrain, de chasser ou simplement de profiter du soleil.
Ici, il n’y a ni soleil, ni gazon vert, ni liberté.
J’avais l’habitude de vivre dans une maison calme et douce… Ici, tout est bruyant et odorant.
Mais le temps a fait son œuvre.
Aujourd’hui, je me suis adapté à ma réalité. J’ai compris que les humains d’ici ne me veulent aucun mal.
Je garde encore ma petite réserve, mais je commence à aller vers eux, doucement, quand mon cœur me le dit.
J’aime maintenant me faire flatter à mes heures, selon mes envies.
Cela fait maintenant plus de quatre semaines que je suis au refuge, et même si l’attente se poursuit, je me sens plus prêt que jamais à trouver ma nouvelle famille.
Ce qu’il me faudrait ?
Une personne seule ou un couple sans enfants ni animaux, qui voudrait m’offrir un peu de liberté sécuritaire.
Une famille qui verrait au-delà de ma personnalité bien spéciale, et qui m’offrirait la chance de continuer à évoluer à mon rythme, entouré de douceur et de respect.
Mon adoption est humanitaire, sans frais d’adoption, simplement dans l’espoir de me donner une vraie seconde chance.
Venez me voir… Peut-être qu’un simple regard suffira pour vous donner envie de me laisser une chance.
Flocky l’incompris
Je m’appelle Flocky, et je crois que j’ai de fortes chances de remporter le titre du plus long résident de l’histoire du Domaine Animal… à moins qu’un petit miracle ne se produise.
Je suis arrivé ici parce que le bébé de ma famille était, pour moi, une petite proie amusante à traquer. Je n’étais plus tout à fait à ma place depuis que ce mini humain a fait son apparition dans mon royaume.
J’ai toujours été un chat bien spécial, vous savez. Maman me l’a souvent dit.
J’avais mes habitudes bien à moi, mon petit univers, mes règles non écrites que ma maman avait apprises à décoder et surtout, à aimer.
Mais comme mon besoin de « chasser » le petit humain s’aggravait avec le temps, il a fallu se rendre à l’évidence : nos chemins devaient se séparer.
Quand je suis arrivé au refuge, j’étais troublé.
Il était hors de question que qui que ce soit m’approche, me touche ou tente de me réconforter.
Même si j’ai toujours été un chat courageux, je dois avouer que je me sentais tout petit ici, et que cet environnement si différent me poussait à repousser chaque être vivant qui entrait dans ma bulle.
J’avais l’habitude de me promener librement sur le terrain, de chasser ou simplement de profiter du soleil.
Ici, il n’y a ni soleil, ni gazon vert, ni liberté.
J’avais l’habitude de vivre dans une maison calme et douce… Ici, tout est bruyant et odorant.
Mais le temps a fait son œuvre.
Aujourd’hui, je me suis adapté à ma réalité. J’ai compris que les humains d’ici ne me veulent aucun mal.
Je garde encore ma petite réserve, mais je commence à aller vers eux, doucement, quand mon cœur me le dit.
J’aime maintenant me faire flatter à mes heures, selon mes envies.
Cela fait maintenant plus de quatre semaines que je suis au refuge, et même si l’attente se poursuit, je me sens plus prêt que jamais à trouver ma nouvelle famille.
Ce qu’il me faudrait ?
Une personne seule ou un couple sans enfants ni animaux, qui voudrait m’offrir un peu de liberté sécuritaire.
Une famille qui verrait au-delà de ma personnalité bien spéciale, et qui m’offrirait la chance de continuer à évoluer à mon rythme, entouré de douceur et de respect.
Mon adoption est humanitaire, sans frais d’adoption, simplement dans l’espoir de me donner une vraie seconde chance.
Venez me voir… Peut-être qu’un simple regard suffira pour vous donner envie de me laisser une chance.