Transférée d’une SPCA éthique, Coquette est maintenant en quête d’une vie paisible.
J’ai peur. Je suis terrorisée. On m’a apportée dans un monde inconnu. Je ne comprends pas les règles, tout est flou. Les gens me sourient, me parlent avec cette voix étrange… Certains ont peur de moi. Pourtant, j’ai seulement besoin d’amour, de tendresse. Mais en l’espace de quelques heures, je suis devenue une créature incomprise.
Tout bouge à une vitesse effrénée, les bruits sont si puissants qu’ils font trembler les murs… J’entends japper mais je ne vois pas. La lumière est froide. Les odeurs n’ont rien à voir avec celles d’un repas tout juste sorti du four de ma maman.
Je n’y comprends rien.
Je mange peu. Je tremble, non pas de froid, mais de peur. Mon corps crispé depuis des jours se fatigue. Mon étiquette de chien « en observation » bloque mon dossier. Je ne peux ni être adoptée, ni être transférée en foyer d’accueil.
Ma chance, dans ma malchance, a été de tomber sur un établissement qui donne une voix à ceux qui tremblent, qui déploie des efforts pour offrir une seconde chance, et qui considère la peur comme une émotion légitime d’un être vivant.
Mon nom a circulé dans plus de 30 courriels envoyés à des refuges du Québec et de l’Ontario. Parmi eux, le Domaine Animal a reçu ma demande.
Elles ont vu… un chien terrorisé. Elles ont compris que mon cœur meurtri par l’abandon pouvait être réparé. Elles ont dit oui.
Une seule réponse positive, parmi plus de 30 refuges sollicités, a suffi pour m’offrir une chance de rejoindre une nouvelle famille.
Si vous connaissez bien les Grands Danois, vous savez à quel point nous sommes des êtres sensibles. Nous sommes des géants par la taille et des tendres par le cœur. Je ne fais pas exception.
J’étais terrorisée, angoissée… mais j’attendais seulement qu’on me permette de déposer ma tête fatiguée sur des genoux pour m’endormir.
Amélie est entrée dans mon condo de la garderie du Domaine Animal, m’offrant des paroles douces et des regards sincères. Assise sur le plancher froid, à mes côtés, elle m’a tendu ce contact qui me manquait tant… et je me suis endormie sur ses cuisses.
Depuis quelques jours, j’ai fait mon arrivée au Domaine Animal. On dit de moi que je suis courageuse. Je me lie d’affection avec tous ceux qui me tendent la main. Je me laisse cajoler, bécoter… Tranquillement, ma queue sort de l’entrejambe où elle se cachait, et mon corps se détend.
J’ai été la compagne d’une vieille dame pendant plusieurs mois. Cette femme, qui respirait la sagesse et la tranquillité, m’avait ouvert sa demeure après six longs mois à vivre l’enfer et la négligence. J’ai perdu mon enfance avec ce gourou et j’ai trouvé l’amour grâce à cette dame. Loin de tout, loin de la ville, mon monde se résumait à une vie calme et paisible… jusqu’au jour où maman a pris la dure décision de me confier à un refuge en raison de son âge et de sa santé précaire.
Je m’appelle Coquette. Je suis sensible mais remplie de courage. J’espère de tout cœur croiser le chemin de ma troisième et dernière famille, celle qui m’offrira la stabilité et la chaleur humaine que je mérite.
J’ai 1 an et demi. Je peux cohabiter avec des chiens de ma taille, je suis propre à l’extérieur, je suis dotée d’une fidélité inébranlable, j’aime les peluches, les jouets interactifs et la chaleur humaine par-dessus tout.
Si tu veux m’adopter et partager ta vie avec moi, c’est par ici : https://adoption.domaineanimal.com/animal/coquette/
Nous remercions sincèrement la SPCA Basses-Laurentides d’avoir fait les démarches nécessaires pour offrir à Coquette la chance d’évoluer dans un milieu plus adapté. Se serrer les coudes entre refuges, c’est la solution pour évoluer et, surtout, la solution pour mieux sauver.
Transférée d’une SPCA éthique, Coquette est maintenant en quête d’une vie paisible.
J’ai peur. Je suis terrorisée. On m’a apportée dans un monde inconnu. Je ne comprends pas les règles, tout est flou. Les gens me sourient, me parlent avec cette voix étrange… Certains ont peur de moi. Pourtant, j’ai seulement besoin d’amour, de tendresse. Mais en l’espace de quelques heures, je suis devenue une créature incomprise.
Tout bouge à une vitesse effrénée, les bruits sont si puissants qu’ils font trembler les murs… J’entends japper mais je ne vois pas. La lumière est froide. Les odeurs n’ont rien à voir avec celles d’un repas tout juste sorti du four de ma maman.
Je n’y comprends rien.
Je mange peu. Je tremble, non pas de froid, mais de peur. Mon corps crispé depuis des jours se fatigue. Mon étiquette de chien « en observation » bloque mon dossier. Je ne peux ni être adoptée, ni être transférée en foyer d’accueil.
Ma chance, dans ma malchance, a été de tomber sur un établissement qui donne une voix à ceux qui tremblent, qui déploie des efforts pour offrir une seconde chance, et qui considère la peur comme une émotion légitime d’un être vivant.
Mon nom a circulé dans plus de 30 courriels envoyés à des refuges du Québec et de l’Ontario. Parmi eux, le Domaine Animal a reçu ma demande.
Elles ont vu… un chien terrorisé. Elles ont compris que mon cœur meurtri par l’abandon pouvait être réparé. Elles ont dit oui.
Une seule réponse positive, parmi plus de 30 refuges sollicités, a suffi pour m’offrir une chance de rejoindre une nouvelle famille.
Si vous connaissez bien les Grands Danois, vous savez à quel point nous sommes des êtres sensibles. Nous sommes des géants par la taille et des tendres par le cœur. Je ne fais pas exception.
J’étais terrorisée, angoissée… mais j’attendais seulement qu’on me permette de déposer ma tête fatiguée sur des genoux pour m’endormir.
Amélie est entrée dans mon condo de la garderie du Domaine Animal, m’offrant des paroles douces et des regards sincères. Assise sur le plancher froid, à mes côtés, elle m’a tendu ce contact qui me manquait tant… et je me suis endormie sur ses cuisses.
Depuis quelques jours, j’ai fait mon arrivée au Domaine Animal. On dit de moi que je suis courageuse. Je me lie d’affection avec tous ceux qui me tendent la main. Je me laisse cajoler, bécoter… Tranquillement, ma queue sort de l’entrejambe où elle se cachait, et mon corps se détend.
J’ai été la compagne d’une vieille dame pendant plusieurs mois. Cette femme, qui respirait la sagesse et la tranquillité, m’avait ouvert sa demeure après six longs mois à vivre l’enfer et la négligence. J’ai perdu mon enfance avec ce gourou et j’ai trouvé l’amour grâce à cette dame. Loin de tout, loin de la ville, mon monde se résumait à une vie calme et paisible… jusqu’au jour où maman a pris la dure décision de me confier à un refuge en raison de son âge et de sa santé précaire.
Je m’appelle Coquette. Je suis sensible mais remplie de courage. J’espère de tout cœur croiser le chemin de ma troisième et dernière famille, celle qui m’offrira la stabilité et la chaleur humaine que je mérite.
J’ai 1 an et demi. Je peux cohabiter avec des chiens de ma taille, je suis propre à l’extérieur, je suis dotée d’une fidélité inébranlable, j’aime les peluches, les jouets interactifs et la chaleur humaine par-dessus tout.
Si tu veux m’adopter et partager ta vie avec moi, c’est par ici : https://adoption.domaineanimal.com/animal/coquette/
Nous remercions sincèrement la SPCA Basses-Laurentides d’avoir fait les démarches nécessaires pour offrir à Coquette la chance d’évoluer dans un milieu plus adapté. Se serrer les coudes entre refuges, c’est la solution pour évoluer et, surtout, la solution pour mieux sauver.
Transférée d’une SPCA éthique, Coquette est maintenant en quête d’une vie paisible.
J’ai peur. Je suis terrorisée. On m’a apportée dans un monde inconnu. Je ne comprends pas les règles, tout est flou. Les gens me sourient, me parlent avec cette voix étrange… Certains ont peur de moi. Pourtant, j’ai seulement besoin d’amour, de tendresse. Mais en l’espace de quelques heures, je suis devenue une créature incomprise.
Tout bouge à une vitesse effrénée, les bruits sont si puissants qu’ils font trembler les murs… J’entends japper mais je ne vois pas. La lumière est froide. Les odeurs n’ont rien à voir avec celles d’un repas tout juste sorti du four de ma maman.
Je n’y comprends rien.
Je mange peu. Je tremble, non pas de froid, mais de peur. Mon corps crispé depuis des jours se fatigue. Mon étiquette de chien « en observation » bloque mon dossier. Je ne peux ni être adoptée, ni être transférée en foyer d’accueil.
Ma chance, dans ma malchance, a été de tomber sur un établissement qui donne une voix à ceux qui tremblent, qui déploie des efforts pour offrir une seconde chance, et qui considère la peur comme une émotion légitime d’un être vivant.
Mon nom a circulé dans plus de 30 courriels envoyés à des refuges du Québec et de l’Ontario. Parmi eux, le Domaine Animal a reçu ma demande.
Elles ont vu… un chien terrorisé. Elles ont compris que mon cœur meurtri par l’abandon pouvait être réparé. Elles ont dit oui.
Une seule réponse positive, parmi plus de 30 refuges sollicités, a suffi pour m’offrir une chance de rejoindre une nouvelle famille.
Si vous connaissez bien les Grands Danois, vous savez à quel point nous sommes des êtres sensibles. Nous sommes des géants par la taille et des tendres par le cœur. Je ne fais pas exception.
J’étais terrorisée, angoissée… mais j’attendais seulement qu’on me permette de déposer ma tête fatiguée sur des genoux pour m’endormir.
Amélie est entrée dans mon condo de la garderie du Domaine Animal, m’offrant des paroles douces et des regards sincères. Assise sur le plancher froid, à mes côtés, elle m’a tendu ce contact qui me manquait tant… et je me suis endormie sur ses cuisses.
Depuis quelques jours, j’ai fait mon arrivée au Domaine Animal. On dit de moi que je suis courageuse. Je me lie d’affection avec tous ceux qui me tendent la main. Je me laisse cajoler, bécoter… Tranquillement, ma queue sort de l’entrejambe où elle se cachait, et mon corps se détend.
J’ai été la compagne d’une vieille dame pendant plusieurs mois. Cette femme, qui respirait la sagesse et la tranquillité, m’avait ouvert sa demeure après six longs mois à vivre l’enfer et la négligence. J’ai perdu mon enfance avec ce gourou et j’ai trouvé l’amour grâce à cette dame. Loin de tout, loin de la ville, mon monde se résumait à une vie calme et paisible… jusqu’au jour où maman a pris la dure décision de me confier à un refuge en raison de son âge et de sa santé précaire.
Je m’appelle Coquette. Je suis sensible mais remplie de courage. J’espère de tout cœur croiser le chemin de ma troisième et dernière famille, celle qui m’offrira la stabilité et la chaleur humaine que je mérite.
J’ai 1 an et demi. Je peux cohabiter avec des chiens de ma taille, je suis propre à l’extérieur, je suis dotée d’une fidélité inébranlable, j’aime les peluches, les jouets interactifs et la chaleur humaine par-dessus tout.
Si tu veux m’adopter et partager ta vie avec moi, c’est par ici : https://adoption.domaineanimal.com/animal/coquette/
Nous remercions sincèrement la SPCA Basses-Laurentides d’avoir fait les démarches nécessaires pour offrir à Coquette la chance d’évoluer dans un milieu plus adapté. Se serrer les coudes entre refuges, c’est la solution pour évoluer et, surtout, la solution pour mieux sauver.