Vincent Vallières le dit si bien, maman :
« On va s’aimer encore, quand on en aura moins devant qu’on en a maintenant. »
Maman, même si ta mémoire se dissipe, que tes joues se fanent et que tes cheveux blanchissent, on va s’aimer encore.
Même si tu es bien loin derrière, même si tu vis dans une autre ville, même si les douces photos qui ornent tes murs ne te provoquent plus d’émotions, et que tu regardes ces cadres sans souvenir, moi, maman, je me souviendrai.
Maman, je te promets que même si toi, tu m’oublies, jamais moi je ne t’oublierai.
Nous sommes bien malchanceux, nous, les animaux, à bien des égards. Trop souvent, nous ne sommes pas maîtres de nos choix, de nos vies… mais l’Alzheimer, lui, ne nous atteint pas.
Moi, je pourrai te chérir toute ma vie.
Je sais que ta douleur est inestimable, que tu as pensé à m’endormir à jamais, pour que ton esprit tourmenté n’ait plus à jongler avec ce casse-tête des moments de présence complète. Je sais que c’était, pour toi, bien plus facile…
Mais heureusement, cette vétérinaire à Rowden a pensé à moi.
Je te promets, maman, que moi, comme j’ai encore toute ma tête, je veux encore vivre.
Je veux offrir ma douceur à des humains qui auront besoin de ma présence.
J’ai encore une mission sur cette Terre, maman : celle de répandre de l’amour sans condition.
Merci de me laisser l’accomplir.
C’est donc avec ton cœur bien lourd que j’ai rejoint le refuge du Domaine Animal.
Ouf... Tes larmes étaient impossibles à contenir.
Mais maman, au fond de moi, je ne remercierai jamais assez le ciel d’avoir été épargnée.
Que l’avenir t’apporte douceur et réconfort, maman.
Moi, ici, je suis en sécurité. Une chose de moins à garder en tête.
Maman, pour le temps que tu me reconnaîtras, sache que j’ai adoré être ta petite fille sur cette Terre.
C’est donc le cœur plein d’espoir que je me présente à vous.
Je suis une charmante teckel, couleur piedmont, âgée de 8 ans, affectueuse et adorable à souhait.
La maladie de ma maman m’a, elle aussi, affectée. Sa triste perte de mémoire l’amenait à me nourrir une première fois le matin, puis, ne se souvenant plus de m’avoir nourrie, elle me redonnait ma ration… plusieurs fois ainsi dans la même journée.
C’est donc pour ma santé que ma maman m’a confiée ici, au refuge.
C’est ainsi que les kilos se sont ajoutés, et que je suis devenue, bien malgré moi, une adorable petite saucisse avec un important surplus de poids.
C’est donc avec mes 29,5 lb que je suis arrivée avec mon petit baluchon.
Je dois maintenant poursuivre impérativement mon programme de perte de poids pour retrouver ma silhouette d’antan.
Les personnes qui veillent actuellement sur moi disent que je ne suis pas anxieuse, que j’adore mes jouets qui "squickent", et que je suis facile à vivre comme dix !
Je m’appelle Shaya, et je serai enchantée de vous rencontrer et de vous présenter mon beau bedon pour des caresses.
Pour remplir mon formulaire d’adoption, c’est par ici :
Vincent Vallières le dit si bien, maman :
« On va s’aimer encore, quand on en aura moins devant qu’on en a maintenant. »
Maman, même si ta mémoire se dissipe, que tes joues se fanent et que tes cheveux blanchissent, on va s’aimer encore.
Même si tu es bien loin derrière, même si tu vis dans une autre ville, même si les douces photos qui ornent tes murs ne te provoquent plus d’émotions, et que tu regardes ces cadres sans souvenir, moi, maman, je me souviendrai.
Maman, je te promets que même si toi, tu m’oublies, jamais moi je ne t’oublierai.
Nous sommes bien malchanceux, nous, les animaux, à bien des égards. Trop souvent, nous ne sommes pas maîtres de nos choix, de nos vies… mais l’Alzheimer, lui, ne nous atteint pas.
Moi, je pourrai te chérir toute ma vie.
Je sais que ta douleur est inestimable, que tu as pensé à m’endormir à jamais, pour que ton esprit tourmenté n’ait plus à jongler avec ce casse-tête des moments de présence complète. Je sais que c’était, pour toi, bien plus facile…
Mais heureusement, cette vétérinaire à Rowden a pensé à moi.
Je te promets, maman, que moi, comme j’ai encore toute ma tête, je veux encore vivre.
Je veux offrir ma douceur à des humains qui auront besoin de ma présence.
J’ai encore une mission sur cette Terre, maman : celle de répandre de l’amour sans condition.
Merci de me laisser l’accomplir.
C’est donc avec ton cœur bien lourd que j’ai rejoint le refuge du Domaine Animal.
Ouf... Tes larmes étaient impossibles à contenir.
Mais maman, au fond de moi, je ne remercierai jamais assez le ciel d’avoir été épargnée.
Que l’avenir t’apporte douceur et réconfort, maman.
Moi, ici, je suis en sécurité. Une chose de moins à garder en tête.
Maman, pour le temps que tu me reconnaîtras, sache que j’ai adoré être ta petite fille sur cette Terre.
C’est donc le cœur plein d’espoir que je me présente à vous.
Je suis une charmante teckel, couleur piedmont, âgée de 8 ans, affectueuse et adorable à souhait.
La maladie de ma maman m’a, elle aussi, affectée. Sa triste perte de mémoire l’amenait à me nourrir une première fois le matin, puis, ne se souvenant plus de m’avoir nourrie, elle me redonnait ma ration… plusieurs fois ainsi dans la même journée.
C’est donc pour ma santé que ma maman m’a confiée ici, au refuge.
C’est ainsi que les kilos se sont ajoutés, et que je suis devenue, bien malgré moi, une adorable petite saucisse avec un important surplus de poids.
C’est donc avec mes 29,5 lb que je suis arrivée avec mon petit baluchon.
Je dois maintenant poursuivre impérativement mon programme de perte de poids pour retrouver ma silhouette d’antan.
Les personnes qui veillent actuellement sur moi disent que je ne suis pas anxieuse, que j’adore mes jouets qui "squickent", et que je suis facile à vivre comme dix !
Je m’appelle Shaya, et je serai enchantée de vous rencontrer et de vous présenter mon beau bedon pour des caresses.
Pour remplir mon formulaire d’adoption, c’est par ici :
Vincent Vallières le dit si bien, maman :
« On va s’aimer encore, quand on en aura moins devant qu’on en a maintenant. »
Maman, même si ta mémoire se dissipe, que tes joues se fanent et que tes cheveux blanchissent, on va s’aimer encore.
Même si tu es bien loin derrière, même si tu vis dans une autre ville, même si les douces photos qui ornent tes murs ne te provoquent plus d’émotions, et que tu regardes ces cadres sans souvenir, moi, maman, je me souviendrai.
Maman, je te promets que même si toi, tu m’oublies, jamais moi je ne t’oublierai.
Nous sommes bien malchanceux, nous, les animaux, à bien des égards. Trop souvent, nous ne sommes pas maîtres de nos choix, de nos vies… mais l’Alzheimer, lui, ne nous atteint pas.
Moi, je pourrai te chérir toute ma vie.
Je sais que ta douleur est inestimable, que tu as pensé à m’endormir à jamais, pour que ton esprit tourmenté n’ait plus à jongler avec ce casse-tête des moments de présence complète. Je sais que c’était, pour toi, bien plus facile…
Mais heureusement, cette vétérinaire à Rowden a pensé à moi.
Je te promets, maman, que moi, comme j’ai encore toute ma tête, je veux encore vivre.
Je veux offrir ma douceur à des humains qui auront besoin de ma présence.
J’ai encore une mission sur cette Terre, maman : celle de répandre de l’amour sans condition.
Merci de me laisser l’accomplir.
C’est donc avec ton cœur bien lourd que j’ai rejoint le refuge du Domaine Animal.
Ouf... Tes larmes étaient impossibles à contenir.
Mais maman, au fond de moi, je ne remercierai jamais assez le ciel d’avoir été épargnée.
Que l’avenir t’apporte douceur et réconfort, maman.
Moi, ici, je suis en sécurité. Une chose de moins à garder en tête.
Maman, pour le temps que tu me reconnaîtras, sache que j’ai adoré être ta petite fille sur cette Terre.
C’est donc le cœur plein d’espoir que je me présente à vous.
Je suis une charmante teckel, couleur piedmont, âgée de 8 ans, affectueuse et adorable à souhait.
La maladie de ma maman m’a, elle aussi, affectée. Sa triste perte de mémoire l’amenait à me nourrir une première fois le matin, puis, ne se souvenant plus de m’avoir nourrie, elle me redonnait ma ration… plusieurs fois ainsi dans la même journée.
C’est donc pour ma santé que ma maman m’a confiée ici, au refuge.
C’est ainsi que les kilos se sont ajoutés, et que je suis devenue, bien malgré moi, une adorable petite saucisse avec un important surplus de poids.
C’est donc avec mes 29,5 lb que je suis arrivée avec mon petit baluchon.
Je dois maintenant poursuivre impérativement mon programme de perte de poids pour retrouver ma silhouette d’antan.
Les personnes qui veillent actuellement sur moi disent que je ne suis pas anxieuse, que j’adore mes jouets qui "squickent", et que je suis facile à vivre comme dix !
Je m’appelle Shaya, et je serai enchantée de vous rencontrer et de vous présenter mon beau bedon pour des caresses.
Pour remplir mon formulaire d’adoption, c’est par ici :