C’est dimanche… Quand on pense que certains quittent le boulot le vendredi, ferment leur ordi et leur agenda jusqu’au lundi, respirant librement pendant 48 heures sans souci.
Le rêve de tous ceux qui se battent pour une cause, qui travaillent à sauver des vies humaines ou animales.
C’est dimanche, un beau dimanche ensoleillé, lorsque l’appel retentit, en pleine journée de congé.
« Ohhh mon Dieu, tu réponds !!! Alyyyyy, un chien va se faire tirer une balle dans la tête, on a reçu un appel… je fais quoi ?!! »
La détresse animale et humaine , elle, ne prend pas de congé. Elle est partout, toujours, à chaque instant.
C’est l’histoire de Kiba, qui a surgi, de façon si impromptue, au refuge, avec son grand sourire… comme si la vie lui était acquise, un dimanche après-midi. Alors que, pour lui, tout ne tenait qu’à un « Oui Ana, accepte-le »… pour éviter la mort.
Des menaces. Des histoires sans queue ni tête. Des mensonges. De la manipulation.
C’est monnaie courante lorsqu’on décroche le combiné pour répondre aux dizaine d’appels qui mitraillent le silence du bureau.
Un champ de guerre vécu dans l’ombre… dans le silence, derrière tous ces happy endings qui en découlent.
Mais cette fois, tous les indices indiquaient à Ana que ce n’était pas une plaisanterie, et que la vie de Kiba ne tenait plus qu’à un fil.
Alors voici son histoire :
Moi, je m’appelle Kiba.
Je suis encore qu’un bébé dans ma tête. J’ai environ 1 an, mais je crois qu’en dedans de moi, j’ai plutôt 6 mois.
Ma démarche maladroite, ma façon de me rouler, de me présenter avec l’innocence d’un chiot laissent les filles du refuge perplexes. Quelle vie ai-je pu avoir avant d’atterrir ici ? Mon poil est taillé grossièrement aux ciseaux… et j’ai l’air de découvrir le monde pour la toute première fois.
Je ne suis pas encore propre.
Et comme je pouvais m’échapper quand on me laissait seul… on a voulu mettre fin à mes jours, dans les bois.
J’aurais regardé les rayons du soleil traverser les bourgeons naissants de ce beau dimanche, peignant un tableau d’été sur les arbres. J’aurais contemplé la beauté de la vie à travers l’innocence de mes yeux… pour une dernière fois.
J’étais prêt, parce que je savais qu’avoir une petite place dans un refuge relevait du miracle.
Je suis un miracle.
Le refuge est plein à craquer, et j’ai pris la place d’une jeune maman chien qui vagabonde dans une communauté.
Mais je suis vivant.
C’est ça, la réalité d’un refuge, quand certains humains se croient tout permis. Quand d’autres ne se soucient pas de la réalité de leur prochain.
J’espère que mon histoire éveillera la conscience de ceux qui prennent trop pour acquis le travail acharné des autres.
Je suis un jeune malamute.
On ne sait pas grand-chose sur moi, mais si on devait me décrire en un seul mot, ce serait : innocence.
J’ai encore beaucoup à apprendre.
Mais ce que je sais pertinemment, c’est comment faire sourire les humains avec ma personnalité rayonnante.
Je peux être compatible avec d’autres chiens si on m’intègre avec douceur.
Ma cohabitation avec les chats est inconnue.
Mais je suis certain d’être compatible avec tous les humains.
Je dois encore travailler ma propreté, tout comme la marche en laisse.
Je veux découvrir, sentir, jouer, courir…
Je veux être un chien, tout simplement.
Et j’espère trouver une famille qui me promettra amour éternel et patience.
Je le mérite.
Tout comme cette douce maman qui continue de vagabonder, et qui attend patiemment que je trouve ma famille pour, à son tour, pouvoir franchir la porte d’un avenir meilleur.
C’est dimanche… Quand on pense que certains quittent le boulot le vendredi, ferment leur ordi et leur agenda jusqu’au lundi, respirant librement pendant 48 heures sans souci.
Le rêve de tous ceux qui se battent pour une cause, qui travaillent à sauver des vies humaines ou animales.
C’est dimanche, un beau dimanche ensoleillé, lorsque l’appel retentit, en pleine journée de congé.
« Ohhh mon Dieu, tu réponds !!! Alyyyyy, un chien va se faire tirer une balle dans la tête, on a reçu un appel… je fais quoi ?!! »
La détresse animale et humaine , elle, ne prend pas de congé. Elle est partout, toujours, à chaque instant.
C’est l’histoire de Kiba, qui a surgi, de façon si impromptue, au refuge, avec son grand sourire… comme si la vie lui était acquise, un dimanche après-midi. Alors que, pour lui, tout ne tenait qu’à un « Oui Ana, accepte-le »… pour éviter la mort.
Des menaces. Des histoires sans queue ni tête. Des mensonges. De la manipulation.
C’est monnaie courante lorsqu’on décroche le combiné pour répondre aux dizaine d’appels qui mitraillent le silence du bureau.
Un champ de guerre vécu dans l’ombre… dans le silence, derrière tous ces happy endings qui en découlent.
Mais cette fois, tous les indices indiquaient à Ana que ce n’était pas une plaisanterie, et que la vie de Kiba ne tenait plus qu’à un fil.
Alors voici son histoire :
Moi, je m’appelle Kiba.
Je suis encore qu’un bébé dans ma tête. J’ai environ 1 an, mais je crois qu’en dedans de moi, j’ai plutôt 6 mois.
Ma démarche maladroite, ma façon de me rouler, de me présenter avec l’innocence d’un chiot laissent les filles du refuge perplexes. Quelle vie ai-je pu avoir avant d’atterrir ici ? Mon poil est taillé grossièrement aux ciseaux… et j’ai l’air de découvrir le monde pour la toute première fois.
Je ne suis pas encore propre.
Et comme je pouvais m’échapper quand on me laissait seul… on a voulu mettre fin à mes jours, dans les bois.
J’aurais regardé les rayons du soleil traverser les bourgeons naissants de ce beau dimanche, peignant un tableau d’été sur les arbres. J’aurais contemplé la beauté de la vie à travers l’innocence de mes yeux… pour une dernière fois.
J’étais prêt, parce que je savais qu’avoir une petite place dans un refuge relevait du miracle.
Je suis un miracle.
Le refuge est plein à craquer, et j’ai pris la place d’une jeune maman chien qui vagabonde dans une communauté.
Mais je suis vivant.
C’est ça, la réalité d’un refuge, quand certains humains se croient tout permis. Quand d’autres ne se soucient pas de la réalité de leur prochain.
J’espère que mon histoire éveillera la conscience de ceux qui prennent trop pour acquis le travail acharné des autres.
Je suis un jeune malamute.
On ne sait pas grand-chose sur moi, mais si on devait me décrire en un seul mot, ce serait : innocence.
J’ai encore beaucoup à apprendre.
Mais ce que je sais pertinemment, c’est comment faire sourire les humains avec ma personnalité rayonnante.
Je peux être compatible avec d’autres chiens si on m’intègre avec douceur.
Ma cohabitation avec les chats est inconnue.
Mais je suis certain d’être compatible avec tous les humains.
Je dois encore travailler ma propreté, tout comme la marche en laisse.
Je veux découvrir, sentir, jouer, courir…
Je veux être un chien, tout simplement.
Et j’espère trouver une famille qui me promettra amour éternel et patience.
Je le mérite.
Tout comme cette douce maman qui continue de vagabonder, et qui attend patiemment que je trouve ma famille pour, à son tour, pouvoir franchir la porte d’un avenir meilleur.
C’est dimanche… Quand on pense que certains quittent le boulot le vendredi, ferment leur ordi et leur agenda jusqu’au lundi, respirant librement pendant 48 heures sans souci.
Le rêve de tous ceux qui se battent pour une cause, qui travaillent à sauver des vies humaines ou animales.
C’est dimanche, un beau dimanche ensoleillé, lorsque l’appel retentit, en pleine journée de congé.
« Ohhh mon Dieu, tu réponds !!! Alyyyyy, un chien va se faire tirer une balle dans la tête, on a reçu un appel… je fais quoi ?!! »
La détresse animale et humaine , elle, ne prend pas de congé. Elle est partout, toujours, à chaque instant.
C’est l’histoire de Kiba, qui a surgi, de façon si impromptue, au refuge, avec son grand sourire… comme si la vie lui était acquise, un dimanche après-midi. Alors que, pour lui, tout ne tenait qu’à un « Oui Ana, accepte-le »… pour éviter la mort.
Des menaces. Des histoires sans queue ni tête. Des mensonges. De la manipulation.
C’est monnaie courante lorsqu’on décroche le combiné pour répondre aux dizaine d’appels qui mitraillent le silence du bureau.
Un champ de guerre vécu dans l’ombre… dans le silence, derrière tous ces happy endings qui en découlent.
Mais cette fois, tous les indices indiquaient à Ana que ce n’était pas une plaisanterie, et que la vie de Kiba ne tenait plus qu’à un fil.
Alors voici son histoire :
Moi, je m’appelle Kiba.
Je suis encore qu’un bébé dans ma tête. J’ai environ 1 an, mais je crois qu’en dedans de moi, j’ai plutôt 6 mois.
Ma démarche maladroite, ma façon de me rouler, de me présenter avec l’innocence d’un chiot laissent les filles du refuge perplexes. Quelle vie ai-je pu avoir avant d’atterrir ici ? Mon poil est taillé grossièrement aux ciseaux… et j’ai l’air de découvrir le monde pour la toute première fois.
Je ne suis pas encore propre.
Et comme je pouvais m’échapper quand on me laissait seul… on a voulu mettre fin à mes jours, dans les bois.
J’aurais regardé les rayons du soleil traverser les bourgeons naissants de ce beau dimanche, peignant un tableau d’été sur les arbres. J’aurais contemplé la beauté de la vie à travers l’innocence de mes yeux… pour une dernière fois.
J’étais prêt, parce que je savais qu’avoir une petite place dans un refuge relevait du miracle.
Je suis un miracle.
Le refuge est plein à craquer, et j’ai pris la place d’une jeune maman chien qui vagabonde dans une communauté.
Mais je suis vivant.
C’est ça, la réalité d’un refuge, quand certains humains se croient tout permis. Quand d’autres ne se soucient pas de la réalité de leur prochain.
J’espère que mon histoire éveillera la conscience de ceux qui prennent trop pour acquis le travail acharné des autres.
Je suis un jeune malamute.
On ne sait pas grand-chose sur moi, mais si on devait me décrire en un seul mot, ce serait : innocence.
J’ai encore beaucoup à apprendre.
Mais ce que je sais pertinemment, c’est comment faire sourire les humains avec ma personnalité rayonnante.
Je peux être compatible avec d’autres chiens si on m’intègre avec douceur.
Ma cohabitation avec les chats est inconnue.
Mais je suis certain d’être compatible avec tous les humains.
Je dois encore travailler ma propreté, tout comme la marche en laisse.
Je veux découvrir, sentir, jouer, courir…
Je veux être un chien, tout simplement.
Et j’espère trouver une famille qui me promettra amour éternel et patience.
Je le mérite.
Tout comme cette douce maman qui continue de vagabonder, et qui attend patiemment que je trouve ma famille pour, à son tour, pouvoir franchir la porte d’un avenir meilleur.